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Les yeux du bouillon

by TRIO A LUNETTES

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1.
2.
Dream 500 09:33
3.
Arette 01:28
4.
Sehol 08:20
5.
Gégène 03:09
6.
7.

about

LINE UP
Quentin BIARDEAU : saxophones
Léo JASSEF : piano
Théo LANAU : batterie


CREDIT
Compositions de Léo Jassef
sauf (3) de Théo Lanau, (4) de Péter Ajtai et (7) de Quentin Biardeau
Enregistré à St Orens par nos soins / Mixé et masterisé au Studio Csolfa par Mathieu Pion
Dessins de Serge Delaunay / Graphisme: Cécile Massou
Le Trio à Lunettes fait partie du TRICOLLECTIF / www.tricollectif.fr

credits

released April 2, 2014

PRESSE

*** RÉVÉLATION Jazz Magazine / Jazzman ***
"La profession de foi de ce trio est écrite à l'intérieur du digipack: «Tout bouge et rien qui est fixe». Grammaire bancale, appellation humoristique et dessins faussement puérils (signés Serge Delaunay) sur la pochette indiquent que ledit trio n'a pas l'air de se prendre au sérieux. Raison de plus pour bien écouter une musique nourrie du seul désir de ne pas s'asservir à un canevas déjà repéré.
[...] Une configuration saxophone(s)-pianobatterie pilote un genre de véhicule entre Renault et char d'assaut pour voguer dans l'univers toujours en expansion des possibles sonores. [...] Par exemple, si l'album s'ouvre sur une musique répétitive évoluant vers un bruitage cosmique, c'est-à-dire quasi silencieux où s'allume deci-delà l'étoile suspendue d'une note de piano, il s'achève dans une espèce de Moyen Age du XXIIe siècle (!) non sans passer par un «swingus interruptus» basé sur l'insertion de silences très brefs dans un dialogue soprano-balais, une ballade sans rythme où Quentin Biardeau fait perler jusqu'à l'extinction des notes archi subtones, un solo effervescent de Théo Lanau ou l'incontournable furie collective. Ce n'est pas que vous aurez le choix, car toutes vos oreilles doivent s'ouvrir pour laisser entrer la musique du Trio à lunettes!"
François-René Simon - JAZZ MAGAZINE / JAZZMAN

*** ÉLU Citizen Jazz ***
"Humour feutré et décloisonnement en toute liberté… Ainsi va le Trio à Lunettes, un des satellites de cette planète des musiques improvisées plus connue sous le nom de Tricollectif. [...]
Ces trois explorateurs prennent la musique du bon côté comme d’autres la vie en général, avec un désir manifeste d’audace qui est pour eux comme un principe actif, voire une nécessité. [...] Une prise de risque en continu, dans une formule instrumentale qui, loin de susciter la sécheresse (oubliées, les rondeurs de la contrebasse aux vertus apaisantes), et c’est là le petit miracle de ces quarante minutes passant à la vitesse de l’éclair, fait naître la jubilation par son caractère entier, sans la moindre concession, et d’une absolue sincérité.
Finalement, le Trio à Lunettes est un pourvoyeur de l’essentiel. Car tout est là, dans cette figure géométrique beaucoup plus harmonieuse que ne le laissent penser ses angles tour à tour obtus et très aigus : sa respiration, lente ou bien saccadée, est un grand bol d’oxygène, une porte grande ouverte sur l’imagination. De ce bouillon pas comme les autres, on ressortira un peu étourdi, mais habité par une certitude : il n’y aura jamais de mal à se faire du bien."
Denis Desassis - CITIZEN JAZZ

"Quentin Biardeau fait partie de ces jeunes personnages du jazz français dont il convient de suivre chacune de ses aventures avec le plus grand intérêt, à l'instar de tous ses comparses du Tricollectif, mais peut-être avec plus d'acuité que les autres. [...]
Ce premier album est un exposé de double culture, de double maîtrise d'une part la connaissance très précise du patrimoine du jazz, comme ce "Dream 500" et sa résolution toute Lacyenne. D'autre partie la libération d'un discours improvisé qui s'est construit auprès de musiciens comme Joëlle Léandre, Beñat Achiary ou Emil Spanyi.
[...] Ce disque très retenu et plein de poésie explose parfois dans un surplus de tension ; les Yeux du Bouillon, ce sont les bulles de Free qui remontent et éclatent à la surface d'un premier disque très construit. C'est le piano martelé de Jassef dans "Dream 500", c'est la batterie ouverte de Lanau dans "Arrête"... C'est surtout l'explosion de rage soudaine, digne d'un uppercut de "Gégène" où le saxophone de Biardeau emporte tout sur son passage.
Inutile de chausser ses montures pour surveiller ces trois là ; quelques indices laissent croire que l'on n'a pas fini de les revoir !"
Franpi Barriaux - SUN SHIP

" [...] Cette suite de titres hétérogènes est pourvu d’une cohérence dont il est ardu de trouver la source. On a l’impression au début qu’il sera question d’une sorte de poésie mystérieuse née de la superposition de motifs, puis au terme de plusieurs minutes hypnotiques, les trois musiciens plongent dans une communication minimale, presque bruitiste. Ils s’arrêtent parfois de jouer comme un gamin qui passe son tour pour profiter du spectacle que représente la partie des autres. On les croit partis à fond de train dans un jeu abstrait, et ils trouvent le moyen de réintroduire de la stabilité, ce que fait avec beaucoup de finesse Théo Lanau en surimpression d’un épisode chahuté du piano sur "Dream 500". On pense que cette musique part de peu pour enfler, s’élever… Et c’est un tout autre scénario qui nous est proposé, comme cette lente plongée vers le silence de "Sehol". On les croit calmes, et les voilà qui s’excitent, courent en tous sens dans un court morceau dont l’énergie est libérée ("Gégène"), et où Quentin Biardeau joue au sale gosse surdoué qui a tout comprit des conversations d’adultes (jeu free totalement maîtrisé, avec du fond et tout…). On pense qu’ils se cantonneront à une musique organique et surgit soudain une suite d’accords joués sur un petit clavier, avec un son plein, qui glisse sur l’espace, contrairement aux déferlements d’accords insaisissables qu’affectionne Léo Jassef. On croit qu’ils se dispersent, mais nous livrent en ultime pied de nez un titre où ils se montrent tous trois mélodiques et centrés "Où là comment ?!". [...]
En fait ils ne respectent rien, ceux-là. Hormis sûrement l’appétit de l’amateur de jazz, qui pourra avec eux partager un goûter délicieux, sucré-salé-acidulé, en prenant soin de laisser à la porte ses freins à la fantaisie."
Olivier Acosta - MOZAÏC JAZZ

" [...] Un trio de jazz actuel aux influences diverses, une musique qui se promène entre mélodies Lacy-iennes et thèmes mordants. Écriture soignée, belle chimie entre les musiciens, belle diversité aussi sur le cours de ces 40 minutes. [...] "
François Couture - MONSIEUR DÉLIRE

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